O souffle de la brise, va et dis aufaon: Aller à l’aiguade Ne fait qu’intensifier ma soif. ...J’ai un aimé dont l’amour étreint mes entrailles S’il le veut, il peut marcher en foulant ma joue. Son esprit est mon esprit, Mon esprit est son esprit. Qu’il désire et je désire ; Que je désire, il désire.