Bien-aimée, je n’ai moyen ni pouvoir, La sentence du Seigneur régente l’univers. Toute ma vie comme eau dans les rivières ...Je fus, comme vent errant dans le désert. Quand je mourrai, que mon linceul soit Les feuilles de la vigne, dans un verger, Parmi les grappes, enterrez-moi. Quand je mourrai, versez du vin sur mon corps Un vin généreux, caressant et joyeux Pur, enivrant et merveilleux.