De la plaine de la Bekaa au Liban, à l’État profond en Turquie, la drogue ne cesse d’être présente au Moyen-Orient. Mais après le haschisch et l’héroïne, place aux amphétamines de synthèse dont un pays, la Syrie, s’est fait une spécialité. Le Captagon a envahi la région, où les prises importantes se multiplie, au Liban mais aussi en Arabie saoudite, un pays qui tente d’en combattre la commercialisation. Avec peu de réussite, semble-t-il.