Le 8 juillet 2025, Mike Borowski révélait les dessous troublants des morts d’Olivier Marleix et Laurent Kupferman, mêlant loges maçonniques, réseaux d’influence et élimination orchestrée par le pouvoir profond.
Deux morts en 24h au sommet du pouvoir
Le 7 juillet 2025, Olivier Marleix, député LR et franc-maçon notoire, est retrouvé pendu chez lui. Quelques heures plus tard, le corps de Laurent Kupferman, essayiste maçonnique influent, est découvert à Fontainebleau. Deux figures centrales du pouvoir institutionnel et idéologique disparaissent brutalement. Pas des anonymes : un pilier parlementaire et un porte-voix de la franc-maçonnerie républicaine. Deux disparitions simultanées. Rien d’innocent.
Marleix était profondément enraciné dans la droite républicaine. Il incarnait une faction lucide sur l’effondrement de son camp, tiraillée entre macronisme et souverainisme. Sa mort n’est pas qu’un drame intime : elle scelle le sort d’un homme devenu témoin gênant, porteur de secrets sur les logiques de fusion entre élites politiques et technocratiques.
Kupferman, idéologue des loges, était le lien entre maçonnerie et appareil d’État. Médiatique, influent, il avait promu Joséphine Baker au Panthéon et prêchait la laïcité universaliste. Sa fin survient dans une sordide affaire de drogues : GHB, 3-MMC, overdose, deux hommes arrêtés.
Une mise en scène proche de celle de Richard Descoings en 2012. Même méthode, mêmes cibles : ceux qui deviennent trop visibles, trop dangereux pour le système.
Le réseau Kupferman, entre culture d’État et influence invisible
Kupferman liait les loges au récit officiel. Il naviguait entre médias, culture et institutions, vecteur d’une pensée conforme. Son décès n’est pas fortuit : suspects, drogues, lieu – tout évoque un effacement maquillé. Ces morts ne déclenchent ni enquête sérieuse ni indignation publique. La mécanique est rodée : le système neutralise, sans bruit, sans traces.
Marleix, un rouage politique devenu inutile
Présenté comme usé, fatigué, son suicide masque une élimination politique. Il connaissait les limites du jeu, les dossiers sensibles, les trahisons internes. Trop silencieux pour trahir, mais trop dangereux pour rester. Il meurt juste avant la révélation de la mort de Kupferman. Deux sphères, deux éliminations, un même message : le pouvoir ne tolère ni faille ni faiblesse.
La République verrouille
Quand le récit se fissure, les bavards disparaissent. Le pouvoir profond recycle ou élimine. Dans ce théâtre d’ombres, le silence est stratégique. Pas d’emballement, pas de scandale, pas de deuil national. Juste l’oubli organisé. La mécanique du secret tourne à plein régime. Le message est clair : circulez, il n’y a rien à voir.
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