Depuis l'annonce de la condamnation de Nicolas Sarkozy à 5 ans de prison avec exécution provisoire, un certain nombre des soutiens de l'ancien Président de la République évoquent la possibilité d'une grâce présidentielle. Ses avocats ont indiqué qu'ils ne la demanderaient pas, mais c'est ce que souhaitent par exemple Henri Guaino, qui était l'invité de Thomas Sotto. Une grâce présidentielle, est-ce envisageable ? "Non, répond Anne-Charlène Bezzina, spécialiste du droit constitutionnel. Il y a un obstacle dans la pratique du texte du Code pénal qui me semble de taille : c'est qu'il faut une condamnation définitive".
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