Suite à notre entretien spécial avec le président du Sénat, Gérard Larcher, nous effectuons un débrief de ces annonces sur les nombreux sujets qu’il a pu aborder : l’accentuation des tensions et la volte-face de Donald Trump sur le conflit russo-ukrainien, la reconnaissance de l’État palestinien par le président de la République Emmanuel Macron à l’ONU, le blocage des institutions françaises au travers du Premier ministre, ou la question de la décentralisation qui a été remise au goût du jour.Michael Darmon, éditorialiste politique et Benjamin Morel, constitutionnaliste et maître de conférences en droit public à Paris II Panthéon-Assas, ont commenté en direct les annonces du président du Sénat. Pour Michael Darmon. Pour Benjamin Morel : « Les Républicains, dont Gérard Larcher fait partie, répondent d’une logique de stabilité qui résonne chez les électeurs de centre-droit. Ils prônent d’être un parti de gouvernement, mais il y a un risque pour eux de trop se compromettre sur les concessions. D’où les lignes rouges de Gérard Larcher sur une taxe sur les plus riches ». Michael Darmon remarque que Gérard Larcher « a beaucoup répété la notion de ‘socle commun’ avec cette volonté de mener les négociations. […] C’est ce qui permet aux LR de se remettre au premier plan de la scène politique, à s’immiscer au gouvernement et maintenant à y garder sa place ».
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