C'est une première au Moyen-Orient. La famine est officiellement déclarée dans la ville de Gaza par l'ONU ce 22 août, ce qui correspond à 20% du territoire palestinien. Un demi-million de personnes seraient dans un état catastrophique et ce chiffre devrait augmenter. Israël rejette ce rapport qu'il considère biaisé et fondé sur les mensonges du Hamas, mais pour l'ONU, « affamer les gens à des fins militaires est un crime de guerre ». Le témoignage sur la situation humanitaire à Gaza de Jérôme Grimaud, coordinateur d'urgence pour Médecins sans frontières.
À lire aussiGaza: l'ONU déclare officiellement la famine, qui aurait «pu être évitée» sans «l'obstruction» d'Israël