Le 7 juillet 2025, Mike Borowski révélait pourquoi, alors que les États-Unis tournent la page de l’ARN messager, la France s’y accroche encore, entre intérêts pharmaceutiques, verrouillage technocratique et stratégie de pouvoir.
L’Amérique stoppe l’ARNm, la France s’entête
Le 6 août 2025, Robert Kennedy Jr., ministre de la Santé des États-Unis, acte l’impensable : l’État fédéral cesse tout financement public pour les vaccins à ARN messager. Un désaveu brutal d’une technologie érigée en dogme depuis 2020. Vingt-deux projets sont arrêtés, soit près de 500 millions de dollars. Motif : doutes croissants sur la sûreté de cette plateforme. Kennedy tranche : place à des « technologies plus sûres ».
Alors que les États-Unis changent de cap, la France poursuit sans remise en question. Paris continue de miser sur cette technologie controversée, tout en renforçant la pression sur les citoyens les plus vulnérables. Aucun débat public, aucun audit. Pourquoi cette obstination ? Quels mécanismes verrouillent cette orientation ?
Une industrie sous perfusion publique
L’acharnement français sur l’ARNm ne découle pas d’un consensus scientifique, mais d’un agenda économique. L’État investit massivement dans la filière biomédicale pour défendre une souveraineté sanitaire face aux géants américains. Sanofi, incapable de répondre à la première vague pandémique, tente de combler son retard avec l’ARNm, largement soutenu par les finances publiques.
Ce choix n’est pas dicté par la santé publique mais par la volonté de rester dans la course industrielle. Le vaccin devient produit stratégique et outil d’influence, bien au-delà de sa fonction initiale. Même quand la technologie montre ses limites, l’argent continue d’affluer. Ce n’est pas le soin qui prime, mais la survie d’un secteur.
Santé publique sacrifiée sur l’autel du dogme
Les effets indésirables liés à l’ARNm sont documentés. Plusieurs pays adaptent leur stratégie, certains interdisant ces produits pour les moins de 30 ans. États-Unis, Royaume-Uni, Danemark, Japon adoptent la prudence. La France, elle, reste muette. Pas d’enquête, pas d’évaluation indépendante. Les critiques, même scientifiques, sont marginalisées.
Ce refus d’examiner les limites d’une technologie imposée à grande échelle marque une rupture avec les principes de santé publique. Le principe de précaution est sacrifié au nom d’un scientisme autoritaire. Toute alerte devient suspecte, même quand elle est fondée.
L’arrogance technocratique contre la réalité scientifique
La France ne suit pas la science, mais une caste technocratique verrouillée. La décision américaine fait figure de séisme. Kennedy Jr., jadis marginalisé, agit sur la base des faits. À Paris, on s’accroche à une « confiance dans la science » devenue dogme. Le maintien de l’ARNm n’est pas rationnel. Il répond à une logique de contrôle et de déni. La France s’isole, ignore les signaux faibles. Ceux qu’on taxait de complotisme depuis 2020 s’avéraient clairvoyants.
Ne vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/