Depuis le début de la semaine le Président français peut à nouveau précipiter la tenue d’élections législatives. Le délai d’un an imposé par la Constitution après le second tour des législatives anticipées de juillet 2024 a en effet pris. Mais Emmanuel Macron en a-t-il intérêt ?
Une nouvelle dissolution permettrait-elle une « clarification » selon le terme macronien ? Quelles possibilités s’offrent au chef de l’Etat ?
Pour en débattre :
- Frédéric Micheau, directeur général adjoint de l'institut de sondages OpinionWay
- Philippe Moreau-Chevrolet, professeur de Communication politique à Sciences-Po et président de MCBG Conseil
- Jean-Philippe Moinet, directeur de la Revue Civique, auteur de « Un journal sous influence », éditions AliRibelli.