Histoire de couper court à toute spéculation, la réponse à la question du titre est non. Mais les investisseurs se délectent pour le moment de l'évaporation du scénario le plus extrême : une dislocation des relations commerciales mondiales. Le moindre haussement de sourcils de Washington en faveur de négociations bilatérales fait monter les actions. Un gros test se profile ce weekend avec une rencontre entre les émissaires étasuniens et chinois en Suisse, pour préparer le terrain en vue de tractations plus poussées.
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