Le 21 février 1944, Missak Manouchian est dans sa prison et il attend son exécution. Il écrit ces quelques mots : « Je suis sûr que le peuple français et tous les combattants de la liberté sauront honorer notre mémoire dignement ». 80 ans plus tard exactement, le 21 février 2024, il entre au Panthéon en compagnie de son épouse Mélinée.

Missak Manouchian n’avait pas la nationalité française et pourtant, il est mort pour la France, son pays d’accueil.

C’est l'une des pages les plus émouvantes de l'histoire de la Résistance française : l'histoire d’un poète arménien et de ses compagnons, un combat immortalisé par l'Affiche rouge.

Pourquoi le combat de Missak Manouchian et de son groupe de résistants lui vaut d’être honoré aujourd’hui ?

#3ème #Terminale #EMC

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