Conversations

Marguerite : « Ce qui a été très long dans ma vie, c’est apprendre vraiment à m’aimer »

Alice Isaaz : « J’ai grandi dans une famille qui m’a apporté plein d’amour, j’ai beaucoup de chance dans ma vie »

Karine Tuil : « Le sexe peut consolider un couple mais aussi devenir un élément de perturbation »

Marina Foïs : « Dans la sphère intime, je suis plus timide que la grande gueule que je semble être »

Camille Razat : « Ce qui m’intéresse dans mon métier, c’est de ne jamais me laisser enfermer dans un genre »

Anna Mouglalis : « La fin du patriarcat, c’est mon rêve de bonheur absolu »

Sorj Chalandon : « Je venais d’une famille sans livres, d’une famille de silence, où la beauté était interdite par le père »

Anne Berest : « J’ai toujours mon lecteur dans la tête quand j’écris »

Audrey Fleurot : « C’est pas facile de n’avoir qu’une vie, de se dire que chaque décision annule tout un champ de possibles »

Mélanie Thierry : « À la quarantaine, il y a quelque chose de plus profond qui se joue »

Mélanie Laurent : « Je vais très très bien en ce moment, ça faisait longtemps »

Melvil Poupaud : « Je n’ai aucune nostalgie de ma jeunesse, je me sentais inhibé, mal dans ma peau »

Frédéric Pierrot : « Avec ma compagne, on part marcher longtemps, un mois, avec juste un sac »

Jean Charles Castelbajac : « La mode est le plus grand langage universel aujourd’hui »

Zita Hanrot : « J'ai décidé de devenir actrice pendant un voyage à New York »

Yoa, chanteuse : « J’ai une écriture très instinctive »

Marie Colomb : « Dans nos métiers, le rapport à l’âge est compliqué »

Elsa Wolinski : « Mes héritages m’étouffent, je ne sais pas trop quoi en faire »

Vincent Delerm : « Mettre tout le monde d’accord, c’est un talent que je n’ai pas »

Styleto : « Plusieurs chansons sont inspirées de discussions avec des amis »

Bérénice Bejo : « Je n’en reviens pas d’être déjà à la moitié de ma vie »

Harilay Rabenjamina est l’invité de Conversations Madame Figaro spécial Art

Anamaria Vartolomei : «J’ai eu un syndrome de l’imposteur pour ce projet»

Adrien Bosc : «J’essaie de faire durer au maximum le présent véritable»

Calypso Valois : «Parfois, j’ai l’impression que je ne suis pas née à la bonne époque»

Claire Berest : « L’affaire Mazan est un fait divers qui a éclaté un peu de sa structure pour devenir un fait de société »

Camélia Jordana : «Je suis une amoureuse de l’amour»

Billie, chanteuse : «C’est une chance de pouvoir appeler mon père quand j’ai un moment de stress, car il est déjà passé par là»

Guillaume Gallienne : «À la cinquantaine, on se rend compte que chaque anniversaire, c’est un an de moins»

Anne Consigny : «On ne choisit pas ce qu’on reçoit, mais on choisit comment on le transforme»

Zoé Adjani : «Mon fantôme préféré est celui de mon père qui m’accompagne sans cesse»

Leslie Medina : «Parfois ma voix me dérange mais en musique tout est différent»

Alysson Paradis : «Enfants, on regardait La Boum en pyjama avec ma sœur, c'était très joyeux»

Ana Girardot : «À 19 ans, on a parcouru les États-Unis en voiture avec mon mari»

Bérengère Krief : «La quarantaine c'est assez troublant, pour ma part il y a eu un deuil à faire»

Isabelle Carré : «J'admire les gens qui, dans les dîners, ne font aucun effort»

Alain Chamfort : «Le contenu de l’album c’est plutôt l’automne de la vie»

Mademoiselle Agnès : «Parfois le “mademoiselle” me pèse»

Nora Hamzawi : « J'impose la joie de manière odieuse aux gens qui n'ont pas forcément envie d'être contents »

Sophie Fontanel : « On ne vieillit pas tous de la même manière »

Charlotte Casiraghi : « J'ai toujours eu tendance à aimer ce qui est brisé, fragile »

Niels Schneider : «Quand on est amoureux, on est toujours plus fort à deux»

Louise Bourgoin : "J'ai la chance d'avoir un homme qui ne se sent pas émasculé par le fait de rester à la maison"

Yseult : "Je ne suis pas têtue, je suis tenace"

Nora Hamzawi : "J'ai la chance d'avoir un amoureux très présent qui est un super père"

Lou Doillon : "On ne m'a pas élevée dans l'idée que le monde était un endroit facile"

Nicolas Maury : "Arrivé à 40 ans, je ne veux plus vivre les choses du coeur tragiquement"

Vincent Lacoste : "Je préférais quand les réseaux sociaux n’existaient pas"

Léa Drucker : "je m'oublie parfois dans l'hyperactivité"

Ana Girardot : "vers 18 ans, j’ai tout envoyé valser"